Hansel et Gretel, la comédie musicale, sera sur la scène des Espaces V Roger-Lefort, le samedi 18 janvier

L’exposition “Le mouvement” a lieu jusqu’au 18 janvier dans la hall du Centre Culturel Joseph-Kessel.

Pour l’exposition “Le Mouvement”, une dizaine de sculpteurs Villepintois ont proposé leur vision du « mouvement ». Découvrez ainsi leurs travaux réalisés à partir de modèles vivants tels que des musiciens et des danseurs.

Cette exposition apporte un éclairage pédagogique sur la sculpture : son origine, ses techniques et son côté artistique. Ces sculptures, réalisées principalement au Centre Culturel de Villepinte, poussent les visiteurs à percevoir les différentes composantes du mouvement.

Le travail de la pierre, du métal, du bois ou du polystyrène permet à l’artiste d’imaginer et de projeter sans limite ses créations via la matière. La 3ème dimension attire l’œil, grâce au volume, elle permet de mieux comprendre et ressentir ce que l’artiste a voulu exprimer.

Le vernissage s’est tenu le vendredi 6 décembre

Plus informations

 

Le chanteur Gage sera en concert aux Espaces V samedi 16 novembre dans le cadre de la saison culturelle 2019-2020. Rendez à 20h30 pour le début du concert.

Chanteur québécois d’origine haïtienne, Gage s’imprègne de musique aux influences différentes : Soul, R’n’B, pop, Reggae, Compas, Zouk, Afro-beat. Le jeune homme intègre le groupe, ONE, qu’il fonde avec Corneille. L’aventure dure 3 ans, avec des premières parties prestigieuses comme Kelis ou encore Isabelle Boulay. Corneille quitte le groupe pour débuter ses aventures solo, ce que s’empresse de faire Gage également.

Le succès est au rendez-vous notamment au travers des singles “Pense à moi“, “Dis-moi“, et “Je t’aime quand même“. Après de nombreuses scènes, Gage fait son grand retour dans les bacs le 30 juin 2008 avec “Changer le monde“. Avec ce nouvel opus, et notamment son premier single “Pardonne-moi“, il amorce résolument un tournant soul. Le jeune artiste montréalais, plutôt discret, dévoile également son côté engagé autant que son intimité.

Du 15 au 28 novembre a lieu l’exposition “Belle époque” consacrée à la période située entre 1870 et 1914.

Le guitariste Peter Nathanson sera le premier invité des Masterclass de la rentrée 2019-2020. Il sera accompagné de Jo Bouxin pour un Masterclass aux sonorités blues/jazz.

Une Masterclass de Peter Nathanson

S’il habite désormais Paris, le guitariste Peter Nathanson est un authentique bluesman américain originaire de Boston (Massachusetts). Il se distingue de ses pairs par un son à la fois unique et moderne. Il reste néanmoins dans les pas de prestigieux prédécesseurs comme Memphis Slim, Screamin’ Jay Hawkins ou Luther Allison.

Très jeune, Peter Nathanson s’est construit seul, dans tous les clubs, de Boston à Austin en passant par Los Angeles. Ce bluesman est l’un des meilleurs de sa génération. Il possède ce sens inné de la note toujours bien placée et chargée d’émotion.

Accompagnement de Jo Bouxin

Guitariste de jazz depuis de nombreuses années, Jo Bouxin organise notamment les « Blues Worshop » avec une légende vivante de la guitare Blues « Monsieur Peter Nathanson ». Il est devenu par  ailleurs guitariste de l’harmoniste Walter Harpman « le » Monsieur du Blues Vétéran de la scène anglaise.

> Samedi 19 octobre 2019

Le chanteur Renan Luce sera sur la scène des Espaces V vendredi 27 septembre en ouverture de la saison culturelle 2019-2020. Il y présentera notamment quelques morceaux de son dernier album.

De nouvelles chansons à l’orchestration plus classique

Renan Luce viendra aux Espaces V de Villepinte défendre ses nouvelles chansons issues de son dernier et quatrième album studio.

Dans ce disque éponyme, le breton enveloppe ses chansons dans une orchestration sixties aussi classique que classieuse (cordes, bois, harpe, vents), à la manière des illustres Bécaud, Montand, Aznavour ou Brel.

Les morceaux de Renan Luce s’ornent ainsi de textes qui s’ancrent dans une intimité et une mélancolie saupoudrées d’une pincée d’humour et d’espièglerie. Un nouveau registre dont l’écoute s’inscrit dans temps pour mieux s’établir en nous.

Un départ pop folk avec “Repenti”

Le breton Renan Luce se dévoile au grand public à 24 ans  avec “Repenti“, premier album en 2006. Ses textes taquinent alors les mots avec malice,  se frottent parfois à la mélancolie, se teintent de rêverie vagabonde et se nappent dans un écrin folk-pop-rock.

Son second album, “Le Clan des miros“, en 2009 puis sa troisième réalisation en 2014, “D’une tonne à un tout petit poids“, consolident son succès public.

Récompenses, reprises et collaborations

Dès ses premiers pas dans la chanson, Renan Luce récolta de nombreuses récompenses comme notamment grand Prix de l’Académie Charles-Cros en 2007, Victoire de la musique de l’« album révélation de l’année » en 2008.

Il collabora également avec des artistes comme Alexis Hk et Benoît Dorémus, écrivit des chansons, pour la comédie musicale Le Soldat Rose (La Couleur) ou pour l’album Toujours debout de Renaud, a participé à des albums de reprises et/ou d’hommages (Renaud et Gilbert Bécaud), a réalisé le générique du film de Le Petit Nicolas (On n’est pas à une bêtise près) et celui du dessins animé Linus et Boom.

5 ans après son dernier album, Renan Luce revient en forme avec un album plus mûr, plus sophistiqué et qui surtout rempli de belles promesses à voir sur scène !

 

Dernier spectacle de la saison culturelle 2018-2019, le spectacle de danse-acrobatie “Phasmes”, a lieu samedi 27 juillet à 15 et 18 heures (représentations de 30 minutes) au Parc du Sausset (entrée Bocage) dans le cadre du Festival Paris l’été.

 

PHASMES – DUO DE PORTES MAIN A MAIN –
Création 2017 / 30 minutes – Tout public (à partir de 6 ans)
Distribution
Ecriture-mise en scène / Fanny Soriano
Interprètes / Vincent Brière et Voleak Ung
Collaborateurs artistiques / Mathilde Monfreux et Damien Fournier
Musique / Thomas Barrière
Lumière / Cyril Leclerc
Costumes / Sandrine Rozier

Dans un clair obscur, une mystérieuse entité nous fait face. Empruntant à l’animal, au minéral
comme au végétal, cette chimère va muter, se déployer, interagir avec son environnement. Convié à
épier cette intimité, le spectateur est saisi par de furtives apparitions : le duo se déploie et se
contracte, faisant naître des figures abstraites et évocatrices, tels des phasmes sans queue ni tête…
L’acrobatie, convoquée par touches, décuple les possibilités et renverse les forces par des jeux
d’équilibre et de symétrie, à la recherche d’un centre de gravité commun. Phasmes puise dans le
langage acrobatique développé autour d’un corps matière, malléable et métamorphosable.

Production Compagnie Libertivore
Coproductions Archaos Pôle National Cirque Méditerranée, Marseille / Le Merlan scène nationale de
Marseille / Le théâtre La Passerelle, scène nationale de Gap et des Alpes du Sud / Pôle Arts de la
Scène – Friche la Belle de Mai, Marseille
Soutiens Ce projet a obtenu une bourse d’aide à la création artistique locale de la ville d’Aubagne
ainsi que l’aide à la production dramatique de la Direction Régionale des Affaires Culturelles
Provence-Alpes-Côte d’Azur. Elle a également reçu le soutien du département des Bouches-du-
Rhône – centre départemental de création en résidence ainsi que celui de la région Grand Est et du
Centre National des Arts du Cirque.

Pour les saisons 2015/2016, 2016/2017 et 2017/2018, la compagnie Libertivore – Fanny Soriano a été
soutenue par le Merlan scène nationale de Marseille dans le cadre de son dispositif “La ruche”,
cellule d’accompagnement de compagnies émergentes de la région PACA.

Fanny Soriano est artiste associée aux Théâtres en Dracénie – Théâtre de l’Esplanade, scène
conventionnée dès l’enfance et pour la danse, Draguignan.

Lien teaser : https://www.youtube.com/watch?v=j_ojYk4G748&t=10s
Site internet : www.libertivore.fr

Vendredi 17 mai, la Nouvelle Orléans sera mise en valeur avec le vernissage de l’exposition photo d’Alexis Pazoumian précédé des concerts des Fabriques orchestrales Junior de Villepinte et du groupe Ceux Qui Marchent Debout au Centre Culturel Joseph Kessel.

Les Fabriquent Orchestrales en première partie de Ceux Qui Marchent Debout

Les Fabriques Orchestrales Junior est un projet musical mis en place aux collèges Jean Jaurès et Camille Claudel de Villepinte. Le principe est d‘initier une quinzaine de jeunes du collège Jean-Jaurès et de Camille Claudel à une pratique instrumentale collective dans le style des « marching bands » de la Nouvelle Orléans.

Ce projet va s’étaler sur trois ans. Il est porté par la Ville de Villepinte, via la Direction des Affaires Culturelles et celle de la Politique de la ville/Démarches quartiers, avec l’association Villes des Musiques du Monde.

Les deux Fanfares villepintoises feront la première partie du concert du groupe Ceux Qui Marchent Debout (CQMD), fanfare Funk qui officie depuis 25 ans à travers l’hexagone et même tout autour du globe.

“Faubourg Treme” une exposition sur le quartier de la Nouvelle-Orléans

Ces concerts mettront en musique l’exposition photo d’Alexis Pazoumian intitulé “Faubourg Treme“. Le photographe-reporter, ’Alexis Pazoumian, a séjourné plusieurs mois au sein du célèbre quartier Tremé, berceau de la musique New Orleans.

« Faubourg Treme », c’est l’histoire d’un quartier qui a survécu. C’est un hommage à la musique, élément salvateur et d’émancipation pour ces habitants. Un Art qui s’est immiscé dans chaque aspect de la vie (religion, éducation,tradition). Un Art qui a permis à un peuple de vivre et de résister. Un Art dont la force n’a jamais cessé d’habiter le regard de chacun, devenu le Fil d’Ariane de ses portraits.

Concerts des Fabriques Orchestrales Junior de Villepinte et de la fanfare Funk Ceux Qui Marchent Debout vendredi 17 mai à Villepinte. Expo photo d'Alexis Pazoumian

Frédéric Bouraly,  aperçu notamment dans la série “Scènes de ménages” (M6), sera présent mardi 9 avril sur la scène des Espaces V pour la pièce de théâtre “Deux mensonges, une vérité”. Scène qu’il partage avec Lionnel Astier (Kaamelot). il nous livré ses impressions avant le spectacle.

Dans « Deux mensonges et une vérité », vous jouez Édouard. Qu’est ce qui vous plaît dans ce rôle ?

Frédéric Bouraly : « Je suis l’ami de Philippe, joué par Lionnel Astier. On est tous les deux avocats et on va suivre une enquête, posée par sa femme, Catherine, jouée par Raphaëline Goupilleau. Cette enquête consiste à découvrir deux mensonges et une vérité. Et moi, je suis l’ami un peu maladroit, il faut le reconnaitre. Il y a beaucoup de choses qui font que j’aime jouer ce spectacle, c’est d’abord le texte, qui est très bien écrit, qui est très fin, c’est un humour de qualité. Les deux auteurs Sébastien Blanc et Nicolas Poiret ont écrit une merveille, c’est très rare en comédie d’avoir quelque chose d’aussi drôle. Les gens rient tout le temps. Comme dans toutes les comédies réussies, il y a un fond. Il y a plein de couples qui viennent nous voir après le spectacle et qui ont été touchés par la pièce. Et puis, il y a la distribution ! Quand j’ai su que j’allais travailler avec Lionnel Astier ! C’est un acteur formidable, un super camarade et puis, il y a tous les autres… Franchement, cela fait toute la différence ! Les gens nous disent : quelle complicité, quelle énergie ! Ça ne se commande pas. C’est beaucoup de bonheur. »

On a vraiment l’impression de vous connaître. Cela fait 10 ans qu’on vous voit tous les soirs à la télévision, dans « Scènes de ménages », ici au théâtre, est-ce que le spectateur fait la part des choses et ne vous identifie pas à José ?

Frédéric Bouraly : « Au début si ! C’est normal, je suis habitué les deux premières minutes et, très vite, ils sont pris par la pièce et par Édouard, mon personnage. Ce que je fais sur scène n’a aucun rapport avec José. Bien sûr, je suis très heureux de tourner José dans « Scènes de ménages », ce n’est pas le problème. José, c’est un clown ! Mais cela n’a rien à voir ! »

Avez-vous une préférence entre le théâtre et la télévision ?

Frédéric Bouraly : « Il n’a pas de préférence, c’est différent. C’est comme choisir entre son père et sa mère ! On ne peut pas ! J’ai cette chance là d’être très gâté. De plus, J’ai tourné au cinéma, il n’y a pas longtemps avec Josiane Balasko et Bénabar. C’est mon travail d’acteur. C’est différent mais le plaisir est le même. La complicité que l’on peut avoir au théâtre devant les spectateurs, je la retrouve aussi sur un tournage avec ma partenaire devant l’équipe de tournage. C’est complémentaire, je ne peux pas choisir. »

Quels sont vos projets ?

Frédéric Bouraly : « Je vais continuer au théâtre avec la pièce jusqu’au mois de mai puis à nouveau de septembre à décembre. Il y a aussi un film. En parallèle, je continue Scènes de ménages, mais vous savez on tourne très peu, trente jours par an uniquement ! L’impact est disproportionné par rapport à la diffusion tous les jours, surtout avec les rediffusions. On carbure au plaisir, il faut juste faire attention à sa santé ! »

Un mot pour les spectateurs villepintois ?

Frédéric BouralyJe lance un appel à tous les Villepintois. Venez découvrir l’énigme de la pièce, et venez chercher avec moi, les deux mensonges et la vérité. On a besoin de vous car avec mon ami Lionnel Astier, on devient complètement dingues pendant la pièce. Alors, au secours, venez nous aider !»

THÉÂTRE Deux mensonges et une vérité / Mardi 9 avril – 20h30
Espaces V Roger-Lefort / Tarif : plein 24€, réduit 18€ et « super réduit » 10€.
Réservation au guichet Culture au 01 55 85 96 10

“Deux mensonges, une vérité” : L’histoire

Lors de leur 27ème anniversaire de mariage, Philippe ne comprend pas que Catherine refuse d’admettre qu’au bout de tant d’années, ils ont la chance immense de ne plus pouvoir se surprendre. Pour lui prouver qu’il a raison, il lui propose un jeu. La règle est simple : chacun doit donner trois anecdotes le concernant, contenant deux mensonges et une vérité. Si Catherine trouve tout de suite la vérité de Philippe, lui, va vivre un enfer en essayant de découvrir celle de Catherine… Et ce n’est pas l’aide d’Édouard (son meilleur ami un peu gaffeur) qui va lui faciliter la tâche.

Avec Lionnel Astier, Raphaëline Goupilleau, Frédéric Bouraly, Julien Kirsche, Esther Moreau, Philippe Maymat
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Édouard Manceau est un auteur et illustrateur invité dans le monde entier. Son travail inédit porte sur les papiers découpés avec lesquels il illustre ses albums. Une exposition lui est consacrée et le spectacle «La famille Gribouillis » animera ses histoires.

L’exposition retrace l’univers d’Édouard Manceau qui invite les plus jeunes lecteurs à réfléchir avec drôlerie au sens de l’amitié, à la question de la différence, des préjugés ou à la quête de l’identité à travers Bibi un petit loup, une tribu de caribous et des éléphants prénommés Bertrand. Grâce à ses petits papiers colorés, l’artiste développe avec simplicité mais efficacité un univers qui, sous une apparence décalée, est en lien direct avec les questions des enfants de maternelle. À partir d’un catalogue de formes qu’il créé, Édouard Manceau donne vie à plusieurs animaux qui défilent de page en page dans un texte fait de multiples répétitions.

DU 12 MARS AU 6 AVRIL / HALL DU CENTRE
CULTUREL JOSEPH-KESSEL. ENTRÉE LIBRE.

La famille Gribouillis est un spectacle dessiné par Monia Lyorit et Loïc Dauvillier. La famille Gribouillis vous invite à passer un petit moment de douceur, de poésie avec de tendres morceaux de musique, de dessins et d’histoires. Papa et maman Gribouillis s’aiment tandis qu’un champignon fait des siennes. Monia Lyorit et Loïc Dauvillier donnent vie aux histoires malicieuses d’Edouard Manceau, sous le regard émerveillé des plus petits.
MERCREDI 13 MARS / À 10H ET 10H30 /
CENTRE CULTUREL JOSEPH-KESSEL / 1 À 4 ANS,
SUR INSCRIPTION / 30 PLACES DISPONIBLES.